La Métropole nous propose (sans rire) de venir la tête sous le bras pour désapprendre à être Talantais ! Ça s'appelle "l'acculturation" !
Naturellement, j'en refuse jusqu'à l'idée ! Et je l'ai fait savoir.
Tous les documents en libre accès pour les Talantais. "Le goût du secret est fondamentalement archaïque".
mardi 24 avril 2018
Donner matière aux contempteurs de la bonne gouvernance métropolitaine
Le PADD qui a été discuté (et âprement discuté par Talant) est un document sur lequel toutes les communes ont dû donner leur avis ; et le conseil métropolitain aussi.
Sauf que, en y regardant de très près (ce qui est notre mission et notre responsabilité !) on s'aperçoit que la version présentée à Talant n'est pas celle qui a été présentée au conseil métropolitain !
Certaines différences sont anecdotiques, mais d'autres franchement dérangeantes !
Et la méthode, encore une fois, pose question.
Est-il bien normal, transparent et sincère de changer de texte entre les avis qu'on cherche à prendre ?
Une nouvelle fois, par souci de transparence, vous pouvez juger sur pièce !
Sauf que, en y regardant de très près (ce qui est notre mission et notre responsabilité !) on s'aperçoit que la version présentée à Talant n'est pas celle qui a été présentée au conseil métropolitain !
Certaines différences sont anecdotiques, mais d'autres franchement dérangeantes !
Et la méthode, encore une fois, pose question.
Est-il bien normal, transparent et sincère de changer de texte entre les avis qu'on cherche à prendre ?
Une nouvelle fois, par souci de transparence, vous pouvez juger sur pièce !
jeudi 19 avril 2018
La Métropole contre les pompiers
Exemple frappant de la brutalité de la gouvernance métropolitaine : la dotation financière du SDIS (les sapeurs pompiers) a été amputée de la propre initiative de la Métro.
Au motif un peux fumeux (sic) que les pompiers d'astreinte, ceux qui doivent pouvoir décaler à la seconde en cas d'alerte, sont logés gratuitement par Dijon.
Bataille administrative entre une collectivité qui met des locaux à disposition mais n'entend pas s'asseoir sur les loyers, et un service public qui est logé par nécessité absolue de service.
Cette bataille se règle en général à l’amiable, ou au pire devant les tribunaux, mais jamais de cette façon qui consiste à retenir sur la dotation des sommes qu'on estime devoir revenir !
Plus grave, cela traduit une méthode : en lisant le courrier du SDIS, on comprend que ne pas répondre aux courriers n'est pas un avatar, c'est un procédé sciemment mis en place. Les communes, les pompiers, le département, l’association des Climats... Décidément, la Métropole ne craint pas les conflits ; au point de les provoquer.
Au motif un peux fumeux (sic) que les pompiers d'astreinte, ceux qui doivent pouvoir décaler à la seconde en cas d'alerte, sont logés gratuitement par Dijon.
Bataille administrative entre une collectivité qui met des locaux à disposition mais n'entend pas s'asseoir sur les loyers, et un service public qui est logé par nécessité absolue de service.
Cette bataille se règle en général à l’amiable, ou au pire devant les tribunaux, mais jamais de cette façon qui consiste à retenir sur la dotation des sommes qu'on estime devoir revenir !
Plus grave, cela traduit une méthode : en lisant le courrier du SDIS, on comprend que ne pas répondre aux courriers n'est pas un avatar, c'est un procédé sciemment mis en place. Les communes, les pompiers, le département, l’association des Climats... Décidément, la Métropole ne craint pas les conflits ; au point de les provoquer.
Le prix de l'eau à Talant
Ah ! Au moins, cette fois, la ville de Talant aura obtenu une réponse ! Ce n'est pas si souvent !
La Ville avait, en mars dernier, demandé à la Métropole pourquoi, contrairement à beaucoup d'autres communes, le marché de l'eau n'avait pas été renégocié par l'intercommunalité.
Une situation bien regrettable, qui a fait, par comparaison, que les tarifs pratiqués à Talant sont ceux qui ont le plus augmenté (ou le moins baissé, ce qui revient au même) ces dernières années.
La réponse sur le fond est assez surprenante et pourrait se traduire par : "ce n'est pas si cher et on attend la fin du contrat pour un nouveau tarif".
Voilà qui n'est pas franchement le principe d'une "renégociation"...
Les Talantais jugeront sur pièce.
La Ville avait, en mars dernier, demandé à la Métropole pourquoi, contrairement à beaucoup d'autres communes, le marché de l'eau n'avait pas été renégocié par l'intercommunalité.
Une situation bien regrettable, qui a fait, par comparaison, que les tarifs pratiqués à Talant sont ceux qui ont le plus augmenté (ou le moins baissé, ce qui revient au même) ces dernières années.
La réponse sur le fond est assez surprenante et pourrait se traduire par : "ce n'est pas si cher et on attend la fin du contrat pour un nouveau tarif".
Voilà qui n'est pas franchement le principe d'une "renégociation"...
Les Talantais jugeront sur pièce.
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